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lundi 8 mars 2010

Influence, réputation et légitimité ... le succès

Tweeter or not Tweeter that is the Question ?

Bon ok, on a fait plus explicite en matière de phrase d'accroche, ayant pour seul but d'informer sur le contenu d'un post dédié à l'intérêt ou non d'utiliser twitter...
Ok alors je vais développer. Finalement non, je vais vous faire part de mon utilisation de tweeter comme je m'étais engagé à le faire dans mon premier post et vous laisser seul maître de vos conclusions ... je ne voudrais aucunement vous influencer :p

J'utilise Twitter/TweetDeck notamment dans le cadre de la promotion du myspace de mon groupe "My Own Fear" que je vous invite à visiter: http://myspace.com/my-own-fear (oui c'est de l'auto-promo lol)

Il m'a fallu 1 an et une petite dizaine de concerts avant d'atteindre le chiffre astronomique de 1600 visites.

« Wow félicitation Stéphane! » , « merci les gens, arrêtez , vous allez me faire rougir » :)

Aujourd'hui nous ne sommes pas loin des 12 000 visites que je ne dois qu'à mon 'charisme'.
Non je plaisante, la multiplication de nos visites journalières, je la dois aux communautés qui m'ont accepté, qui visitent mon myspace, et en font la promotion auprès de leurs réseaux.
Concrètement, je glane des infos , les diffuse et j'en profite pour communiquer sur mon groupe.
Notez que vous pouvez appliquer ce schéma à la promotion de votre entreprise ...

Twitter, c'est un peu comme avoir son produit en tête de gondole dans une grande surface. Les gens passent devant, certains achètent, d'autres non, mais tous le monde sait que vous êtes là et que vous existez.

En fait je suis une sorte d'animateur .
Le gars en costume qui vous interpelle au détour d'un rayon, micro à la main et qui s'imagine en train de présenter une émission en prime time sur TF1 pendant qu'il vous vend sa promo « une litière achetée la seconde moitié prix ».
Et bun mon job c'est un peut ça, j'interpelle, je fidélise, je communique, je dialogue et vend mon myspace « en espérant ne pas être aussi pathétique qu'un "Vincent Lagaf" des grandes surfaces et que notre musique soit plus passionnante que de la litière... ».

Sous couvert d'humour, ce que je veux mettre en lumière, c'est qu'au delà d'informer je vais aussi vers les personnes virtuelles que je croise pour les inciter à nous visiter, la pro-activité me parait essentielle.

Ca fonctionne d'autant mieux que le monde virtuel, comme son nom l'indique est vaste, les rencontres nombreuses, internationales et du fait d'être sérieux et transparent dans ma communication, j'ai su m'attirer la sympathie de certains qui font ma promotion, notamment au Canada et en Tunisie (au passage merci les mecs, continuez comme ca, j'ai votre RIB, je vous fait un virement à la fin du mois ;)).

Car oui, il y a aussi une table des 10 commandements pour optimiser les retombées des réseaux sociaux... Peut-être l'expliciterais-je si vous conviez vos proches à suivre mon Blog :)

Ho j'entends déjà certains me crachant : " Ouai t'es un vendu", d'autres criant : "Au scandale"... ou encore, me jetant : "Mais qui a mangé la dernière part de brownie ? (oups là je m'égare:))
Vous n'avez pas totalement tort, effectivement on peut parler d'influence sur le net, car à l'instar de l'utilisation qu'en font les marques (à suivre dans mes prochains articles), Twitter a donné à My Own Fear une e-réputation, voire une e-légitimité.

Autre point que j'aimerais préciser. Vous seriez surpris par la liste de mes « Followers ».
Non, elle n'est pas composée uniquement de brutes chevelues sanguinaires disséminées un peu partout dans le monde... non il y a aussi des journalistes, des entrepreneurs qui n'ont rien du fan de musique heavy…

Cela nous amène à un point crucial. Il y a quelques semaines j'écrivais qu'il n'y a pas de mauvais usage de twitter, chacun est libre de suivre qui il veut ou non...
Ca vous revient ? Non? Alors relisez mon premier article. Je vous expliquais que dans l'esprit collectif, il n'y avait aucun intérêt à tweeter des informations trop personnelles du type « hier le serveur du Maccumba Club m'a servi un cocktail du tonnerre ».
Détrompez vous, pas plus tard que cette semaine, je discutais avec une « Dircom » US qui me disait la chose suivante :

« J'ai demandé qu'elle était la comédie musicale à voir à Boston en ce moment via twitter. Une personne m'a répondu, on a discuté et je me suis rendu compte que c'était un analyste réputé, ce qui m'a permis d'élargir mon réseau, et d'en faire profiter ma société ».

Ca y'est je l'ai dis… « en faire profiter ma société », car oui Twitter c'est un « outil » personnel que l'on décide ou non d'employer (aussi) au service de son entreprise.

Conclusion : gardez en tête qu'on ne sait jamais qui va lire vos tweets, peut-être votre futur employeur, car comme vous il aime se divertir au « Macumba Club » après sa journée de travail.
Mais pour la même raison évitez de vous faire des ennemis. Derrière ce pseudo que vous ne connaissez pas et que vous avez incendié, il y a peut-être votre Belle Mère ou votre directrice...

Et pour ceux qui depuis mon premier post, partent encore du principe que c'est nul de tweeter « J'ai opté pour une pomme au dessert ». Rappelez vous qu'il y a quelques années le collectif des mangeurs de pommes a largement pesé dans la balance des élections présidentielles françaises...

Influence, réputation et légitimité ... le succès.

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